Les exhibitions de Joseph Pujol sont vues par certains comme un outrage aux bonnes mœurs : il est agressé à l'entrée du Moulin Rouge et il est assigné en justice, son procès faisant même des remous au parlement. Par ailleurs, il aime, en cachette de sa femme, Catherine à qui il essaye de cacher son activité. Il démasque une certaine « Madame Pétomane », dont les flatulences proviennent en fait de trompettes. Son succès est tel qu'il en vient à se produire devant des ambassadeurs au palais de l'Élysée. Ceux-ci rient quand il reproduit l'hymne national des autres pays en pétant, mais sont indignés quand il s'agit de leur propre hymne national. Le film se conclut sur l'entrée dans la Première Guerre mondiale, suggérant qu'il pourrait en être la cause.